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Extrait de mes Poèmes

Sur la toile,

La ligne d’une mémoire commencée.

Le seuil du silence :

Blancheur jaillie de la blancheur,

tenue en échec par nul projet.

Les esquisses d’un presque voyage,

Entre les colonnes d’une haute terre.


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La lumière ? Ce phénomène

Fondamental du monde,


Nous révèle par les couleurs

L’esprit et l’âme vivante

De ce monde

******************

La nuit les naïfs savent lire

L’écriture sur les étoiles les plus lointaines.

Quand ils se perdent dans la lumière

Pour élargir le monde que miniaturisent

Les hiérarchies chancelantes.

*******************

La nature transforme ma sensibilité…

La source de mon inspiration

Je la puise dans ma mémoire

Je ne suis pas un artiste

Mais un artisan de l’art







Je ne suis jamais seul ;
         Près d'une rivière,
                   "Comtempler" un bûcher,
                    La neige qui tombe.
         Je suis avec personne.
J'habite.

 

Tôt les choses abordent le petit matin
Des choses.
Mais là, n'est qu'apparence
Divagation de la non chose
Don de l'aube, ô pluie pléinière,
Frapperas-tu aux carreaux de l'absence.

 

Je disais : cette fêlure navigue,
         Un peu de toi, un peu de corps,
                  Dans la gousse.
                              

                                        Dès à présent,
                                   Emmuré sous la paupière,
                           Je cherche l'oeil inédit,
                  Cette couleur que tu possèdes
         Et m'achemine vers des eaux
Pour y dormir, même illisible.


 

Je rassemble quelques clés admirables.
Les lointains non franchis où réside le calme
A l'exemple des montagnes du soir,
J'espère des versant consacrés à la vigne
Et des jardins savant depuis qu'on les néglige.
Je crois aux cols qui donnent des pays.


 

Ce rien fragile, qui m'invite parfois
  Dans les sous-bois du bleu.
     Y porterai-je les gants blancs
        De triste pureté,
           Ou le rire d'une présence inachevé ?
               Avec quelques reliques,
                    Nous aborderons le lieu.

 
L'amour ne révoque pas
   La solitude.
            Il la parfait.
   Il lui ouvre tout l'Espace
Pour brûler.

 

Toute initiation s'accopagne
   De l'abandon de l'enfance...
      Oui, l'enfance comme une colonie
           Lointaine qui s'écarte de nous.
                Peu à peu dans la dérive de
                    Notre indépendance,
                        Mais reste toujoujours enfermée
                            Dans sa propre lumière.
 

Existe un chemin sous la pluie
Sous telle humble parole,
Improbable,
Un panier de bonté que tu laisses
Là, où même le vent t'oublie.
Le lieu que tu partageras
Avec personne.

 

Etablir la fonction entre la rumeur
   Des choses et la parole.
       Entre ce qui se dévoile au regard
           Et ce qui est censé être
               Le chemin que j'emprunte,
                  Bien que non tracé,
                      S'ouvre sur moi.
                         Ce chemin serait une langue
                             Dont seul je détiens la clé.


 

Je suis sans cesse à l'affût
       D'une petite lueur verte
          Un bout d'espoir mouillé
              De tendresse,
                  Où je chercherai...
                     L'intelligence sans vouloir
                          Croire à sa rareté.

 




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